Les mystères de la repousse capillaire d’Édouard Philippe : une maladie imprévisible ?

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Dans une récente interview accordée au journal Le Parisien, Édouard Philippe a partagé une évolution inattendue concernant sa condition médicale, l’alopécie, rendue publique en 2023. Ce terme fait référence à la chute des cheveux, une situation loin d’être anodine.

Édouard Philippe avait auparavant mentionné être affecté par le vitiligo, qui se manifeste par une dépigmentation de la peau, et la pelade, causant la perte des cheveux et des poils.

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« Une Nouvelle Adolescence »

La pelade se caractérise comme une maladie auto-immune, explique le docteur Philippe Assouly, membre de la Société française de dermatologie. Elle se manifeste par une concentration de globules blancs autour des follicules pileux, freinant ainsi la croissance des cheveux.

L’ancien Premier ministre a donc expérimenté cette condition, visible mais sans danger. Perdre l’ensemble de ses cheveux et poils est une expérience marquante.

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Surprise, au mois de juin, ses cheveux ont recommencé à pousser, sans intervention médicale. Édouard Philippe plaisante en disant qu’il ressent comme une seconde puberté et se considère comme revenu de sa calvitie.

Une Condition Inattendue

Si cette repousse est une bonne nouvelle pour lui, elle suscite aussi des interrogations, d’autant plus qu’aucun traitement n’a été suivi. Cette maladie est imprévisible, selon le docteur Assouly. La repousse peut se produire de manière aléatoire, avec ou sans intervention, parfois partiellement.

L’évolution de la pelade est souvent surprenante. Le dermatologue souligne que l’on ne peut prédire si les cheveux repousseront complètement ou non.

Des Épisodes de Pelade

Philippe Assouly décrit la pelade en termes de « grandes lignes », mentionnant que des enfants ayant connu des formes sévères ont moins de chances de récupérer leurs poils. De même, la pelade sur la barbe est souvent plus résistante à la repousse.

Pour Édouard Philippe, la progression a d’abord été par plaques, puis a entraîné une perte totale de cheveux, et enfin a touché toute la pilosité faciale. L’avenir de sa condition reste incertain, mais ses témoignages permettent de mettre en lumière une maladie qui concerne environ 2 % de la population.

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